Si vous êtes développeur, chômeurs et que vous souhaitez vous mettre au développement Flex, Adobe vous propose de télécharger Flex Builder 3 gratuitement.
Selon le site, cette offre a pour but de lutter contre la crise et est limitée dans le temps. L’objectif ne serait-il pas de convertir tous les développeurs ayant perdu leur travail à cause de la crise en disciples Adobe?
Après le coup de pub de Google avec la sortie de GWT 1.6, du support de Java dans GAE et d’un plugin Eclipse pour gérer le tout, c’est au tour de Adobe de pousser sa technologie Flex. On peut s’attendre à une réaction du même genre du côté Microsoft avec Silverlight.
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Ça y est, la version 1.6 officielle de GWT est enfin disponible après deux releases candidates (RC). Les nouveautés annoncées sont bien présentes. Parmi les nouveautés les plus importantes : Une refonte de l’architecture d’une application GWT pour qu’elle corresponde à celle d’un WAR. Cette nouvelle architecture est plus intuitive pour développer une application complète (testée avec le plugin Eclipse Cypal Studio). Une parallélisation du compilateur permet sur une machine multi-coeurs de diminuer sensiblement la durée de compilation. Maintenant, la compilation peut aussi être distribuée entre plusieurs machines. Une nouvelle approche de la gestion de événements par Handler. Pour avoir testé cette nouvelle implémentation, on se rapproche beaucoup plus de la gestion des événements Swing. En marge de GWT, Google App Engine, la plateforme de déploiement des applications Web de Google, accepte désormais les applications Java dans un environnement Java 6. Cet environnement comprend les API suivantes : Java Data Objects (JDO), Java Persistence API (JPA) et JavaMail API. Par ailleurs, Google a aussi développé un plugin Eclipse pour les développeurs GWT et Google App Engine. Ce plugin contient : Un assistant de création d’applications Web spécifique pour GWT ou Google App Engine. Un assistant de déploiement de votre application...
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Google a lancé lundi son propre fond d’investissements : Google Ventures. Ce fond investira dans des start-ups (Internet, logiciels, hardware, bio-technologies, santé, …), l’investissement pouvant aller jusqu’à plusieurs dizaines de millions de dollars.
Le Wall Street Journal a annoncé que Google allé investir 100 millions de dollars dans Google Ventures pour la première année.
Comme dit dans la FAQ de Google Ventures, le fait que le fond investisse dans une entreprise ne signifie par qu’elle doit avoir un arrangement commercial avec Google, ni qu’elle doit absolument utiliser les produits Google.
Pour postuler il suffit d’envoyer un e-mail avec une présentation d’une vingtaine de slides ou une description de trois pages à
[email protected].
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La version 2.0 beta du navigateur Google Chrome est disponible en téléchargement. Une des évolutions majeures de cette version est la possibilité de rajouter des extensions (attention, ne vous attendez pas à la puissance de XUL des produits Mozilla). Développement Pour développer une extension pour Chrome, il faut tout d’abord télécharger la dernière version 2.0 beta. Ensuite créer un répertoire qui va contenir l’arborescence de l’extension : C:MyChromeExtension. Dans ce répertoire on va créer deux fichiers : manifest.json et MyExtension.js. Le fichier manifest.json qui décrit l’extension : { "format_version": 1, "id": "00123456789ABCDEF0123456789ABCDEF0123456", "version": "1.0", "name": "My First Extension", "description": "The first extension that I made.", "content_scripts": [ { "matches": ["http://www.google.fr/"], "js": ["MyExtension.js"] } ] } Voilà les différents champs : format_version : permet de définir quelle version du format du manifest est utilisée. Pour l’instant il n’y a que la version 1 de disponible. id : à l’instar des extensions Mozilla, c’est un identifiant qui doit être unique pour chaque extension. C’est une chaîne de 40 caractères. version : version de l’extension. N’importe quel numéro de version peut être utilisé à condition que ce soit des nombres séparés par un point : 1.0.0.0. *name *: le nom de l’extension. description...
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La société Skype connu pour son logiciel du même nom permettant de communiquer en utilisant la voix sur IP (VoIP), vient de rendre disponible les spécifications du codec SILK.
Le codec SILK est celui utilisé par Skype et garantie une qualité des appels grâce à un algorithme de compression permettant une réduction de 50% de la bande passante utilisée.
L’intérêt principal pour la société est de permettre aux développeurs/sociétés d’utiliser ce codec et ainsi en faire un standard pour les futurs développements.
Source : http://share.skype.com/sites/en/2009/03/silk_now_available_for_free.html
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